2010, l'année du pubis se plaisent à dire les facebeaufs. J'y vois perso une année semblable au GP de Monaco, virage en épingle, chicane, saut de haie (??), etc. J'ai toujours peur de m'engager dans une voie, de me lancer ou de casser un élan. Comble du fanatisme, cette réplique du Joker (en VF pour pas choquer) "Personne ne panique quand il y a un plan". C'est un peu l'idée. Fin 2009, la tête en chantier. Début 2010, on lance les travaux. Je viens de mettre le pied à l'étrier d'un plan qui me parait carré sur le papier mais qui risque de me faire flipper jusqu'au bout. Surement une des plus grandes décisions de ma (courte) vie. Au niveau footballistique ça équivaudrait à la ligue des champions des choix de vie (à vue de nez).
Quitter son boulot, c'est une chose, quitter son boulot pour remonter la rivière à contre courant des poissons qui se jettent dans les pattes crochues d'ours pyrénéens, c'est autrement plus risqué. C'est aussi risqué que motivant comme challenge. Ok, je prend. Soit je laissais mon quotidien me mener là où je me suis juré de ne jamais allé, soit je lui fait un énorme bras d'honneur et je lui défonce la gueule. J'ai pris la deuxième option.
Au début de ce post je voulais dérusher un bon paquet de tranches de vie toutes fraiches. fail. L'essentiel n'est pas le détail finalement, je peux résumer à d'excellents moments en famille / amis, une cassure (ouai encore du french) qui a valu son pesant de noix de macadamia.
Dans quel bourbier t'es tu encore fourré mon lap? Si j'avais 8 ans je lâcherais un gros COWABUNGA! Mais j'ai muri tavu. J'suis passé à Street Fighter quoi, alors Round 2010! FIGHT!
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