GQ Approved

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"Toujours laisser le dernier bouton du cardigan ouvert". Sir! Yes! Sir! Au pied de la lettre la recommandation. Ca fait tellement plus distingué. Parce qu'il n'y a pas que Barney Stinson qui a le droit de se démarquer. Nous sommes tous uniques... tant mieux pour certains.
L'avènement d'Internet peut avoir déglingué la presse papier, j'ai jamais autant acheté et lu de magazines que ces dernières années (SNCF Powa!). J'en deviens boulimique. Le plaisir du support objet face à la page html ne souffre d'aucune comparaison. A chaque passage on aperçoit un bout de ligne qui peut nous faire vibrer. Il était là depuis le début, attendant que notre oeil, rougi par les LCDs et autres TFTs, s'attarde dessus.

Dieu de l'économie où es tu? J'achète certains magazines tous les mois et je n'ai toujours pas d'abonnement. Ouai gars! je paye cash! Don't chu worry la crise?!


Celui qui me suit, c'est mon TSUGI. Un sampler qui a valeur de vestibule. Offrant des portes vers des contrées inconnues mais au combien hot. "TSUGI, ma bible", mouai, pas loin. "Ecoutez ouiiiiiiii" je suis ton TSUGI et je relance d'une radio NOVA. Bam! 2 hit combo!

Désapprendre à écouter la musique. Pas facile au début, on décristallise toutes nos connaissances, plus de repères. Mais quelle jouissance de comprendre qu'on apprécie la musique pour ce qu'elle est. Tout comme on désapprend, on démarketise les "produits". C'est peut être pas un art majeur, mais ça en reste un non?
Et si on peut écouter tout ça dans un bon cax que même un hipster refuse pas, alors ça l'effectue.



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